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RÉMI LE PRINCE

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DIRECTION DE CRÉATION
ETERNEL ÉQUILIBRISTE
SUR LE FIL DES DUALITÉS

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Littérature

 

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RÉMI LE PRINCE

 

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RÉMI LE PRINCE 

 

APPELONS UN CHAT UN CHAT ! OU TOUT DEVIENT TOUT ET N’IMPORTE QUOI !

 

 
PROVERBE, DICTON, APHORISME, ADAGE, PRÉCEPTE, MAXIME, SENTENCE.  La disparition progressive de la culture de base donne lieu à de bien tristes mélanges, des amalgames et des détournements et tout devient tout et n’importe quoi ! MERDE !
     Or un  PROVERBE est un terme générique, couvrant des concepts différents, c’est une formule langagière de portée générale contenant une morale, une expression de la sagesse populaire ou une vérité d’expérience.
Mais appelons UN CHAT UN CHAT et certains éléments permettent de les différencier.
UN DICTON constate plutôt un fait: « Noël au balcon, Pâques aux tisons ».
UN APHORISME résume une théorie, tire une conclusion de faits observes « Chat échaudé craint l’eau froide », « La critique est aisée et l'art est difficile », « Tel père, tel fils »).
UN ADAGE exprime plutôt un conseil juridique ou pratique Énonciation brève et frappante d'une règle de conduite, empruntée au droit coutumier ou écrit “ Nul n'est censé ignorer la loi “. « Qui veut voyager loin ménage sa monture ».
UN PRÉCEPTE énonce un enseignement d’ordre artistique, scientifique, philosophique ou moral « L’éducation a des racines amères, mais ses fruits sont doux ».
UNE MAXIME édicte une règle de conduite « Il vaut mieux se faire agréer que de se faire valoir ».
UNE SENTENCE émet un jugement moral, souvent de manière dogmatique « Qui ne sait pas rendre un service n’a pas le droit d’en demander », « N’accuse pas le puits d’être profond, si tu prends une corde trop courte »
VOILÀ BORDEL ! C’EST QUAND MÊME PAS COMPLIQUÉ D’EMPLOYER LES MOTS QU’IL FAUT ! AVEC UNE LANGUE AUSSI RICHE QUE LA NOTRE AU LIEU DE BARAGOUINER UN PEU D’ANGLAIS, D’ALLEMAND OU D’ITALIEN COMMENçONS DONC PAS APPRENDRE LE FRANçAIS CONVENABLEMENT !

 

QUE CELUI QUI N’A JAMAIS DIT, « putain, ce soir, j’m’en mets une ! », me jette le premier verre.

 

 
Ce en quoi …. je suis allé explorer les tréfonds de nos étreintes envers ce bon vieux nectar qui pendant des siècles a été le meilleur ami de l’homme, au quotidien et sans modération et qui est aujourd’hui totalement diabolisé par les fâcheux bêlitres bobôsocialôs vinophobes, ce qui complique considérablement les excellents rapports que j’entretiens avec lui.
Bon ou mauvais, ami ou ennemi, régulier ou amant, qu’il me soutienne, qu’il  m’envoûte, me dynamise, m’emporte, m’éclate ou me libère, qu’il me fasse me surpasser ou me casser la gueule, il fait toujours partie intégrante et intégrale de ma vie. Lorsque les portes du jour se referment sur les beâtes bêtises infâmes de nos pâles tâches quotidiennes qui s’enfoncent dans la nuit de l’oublie et que surgit l’entrée illuminée des rêves éveillés d’espoir d’ivresse, je suis déjà ivre ! Saôul de ces mots, de ces moments que j’affectionne particulièrement ou biturige que je suis, je sens passer en moi les brises de l’émerveillement, les vents de la déraison , les bourrasques de l’intempérance et les cyclones de l’inaxcessible. La queste du saint-graal est en marche ! J’m’en mets une oui, mais en Chevalier, pas comme un gueux, comme un manant ou comme les agités du bocal, les complexés du bizutage et ces syphonés du bigorneau qui pestent, s’agittent et s’indignent en beuglant dans les basses fosses de la médiocrité boboécolo médiatique. Là où pas un poil de cul ne bouge, pas une larme de plaisir qui perle au coin des lèvres. Même pas, un soupçon d'essence, de sens en émoi ou un simple sourcillement de jubilations visuelles, une délicate pincée d’érection, non rien. Ah ! Ventrebleu et cornegidouille, par celles, saintes, du père Deburnes, que des bougres de rien ! d’la merda de rien ! Mais s’en prendre une bonne, c’est un chemin ! un parcourt initiatique, une queste vers l’infinitude, une délicate ascension vers les étoiles. C’est sentir venir la libération de son cerveau atrophié par les contraintes, les régles et les lois. C’est laisser son corps libre de ses aspirations et son être s’ouvrir, s’épanouir sur la voie lactée des rêves insensés et des illusions non encore perdues. Mériter l'ivresse vils gueux, ne se gâche pas avec des canons hatifs. Le vin pour être bon, prend son temps et bien... la bonne cuite aussi ! Ainsi va la messe des gourmands de rêve et la construction d'un monde fait "à notre manière." Messieurs les hâtifs, les malveillants, vous ne faites pas parti de notre cathédrale... Le respect du vin vous laisse à votre inculture. Quant aux moralisateurs, ils ne seront jamais accueillis dans notre arche de Noé. "Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise nos épaules et nous penche vers la terre, il faut nous enivrer sans trêve de vin, de poésie, de folies, à votre guise."

 

DE L'ABSURDITÉ DE LA VIE

 

 
“ Un lit de ténèbres “ Oua! quel roman ! Un livre plus que triste, presque désespérant tant il nous semble que communiquer et être compris est vraiment une des choses les plus difficiles qu'il soit. Ben oui, c’est l’éternel problème de l’indicible, le mal du siècle ! On voudrait posséder encore plus de mots pour pouvoir tout définir, mais notre dicible est d’environ 1000 mots sur plus de 40 000 existants, et pour pouvoir tout expliquer on invente de nos jours plus de mots qu’en deux mille ans.
 Nous communiquons beaucoup plus et  aujourd’hui “on découvre que la source du mal est en nous, dans nos coeurs, nos cerveaux et notre chair ” mais patience, ils se révoltent toujours quand la coupe est pleine. En l'absence de tout espoir de tout savoir, nous devons continuer à lutter pour survivre, même si nous survivons-de justesse parce qu’il existe toujours la solution de la musique qui avec seulement sept notes, elle ! s’adresse aux sens et non pas à ces zones limitées de notre ego, de nos intelligences qui raisonnent ou qui pensent. Mais c’est toujours un Je pense donc j’étais et non pas je suis ! car nous pensons en fonction du passé et non du présent et encore moins de l’avenir. C’est pourquoi j’ai toujours privilégié l’improvisation au piano qui ne se réfère qu’à l’instant, à rien et qu’il n’en restera rien, comme de ces instants magiques de liberté, de ces parfums, de ces goûts, de ces amours, de ces images, de toutes ces sensations gravées dans nos mémoires que l’on ne retrouvera jamais et que l’on recherchera désespérement toute sa vie, et dieu merci pas dans des dictionnaires. C’est toute la magie de la vie !

 

LE GUETTEUR DE L'INFINI

 

 
Tout ce qui est vie est potentiellement du bonheur....
et beaucoup de malheurs.
Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de ne pas se figer et changer de direction. Je ne vois pas pourquoi je m'en priverais préfèrant de beaucoup les opinions aux convictions.

 

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